vendredi 27 novembre 2015

COP21 : La société civile Africaine se mobilise




D’ici quelques jours s’ouvrira la COP21, qui se tiendra du 30 novembre au 11 décembre prochain à Paris. Cette conférence sera déterminante car elle doit aboutir à un accord international juridiquement contraignant sur le climat, applicable à tous les pays à partir de 2020, qui préservera des chances de contenir le réchauffement global bien en deçà de 2°C – voire 1,5°C. L’accord de Paris ne sera certainement pas un accord idéal, mais il doit poser les bases pour permettre de lutter contre les changements climatiques tout en répondant aux besoins de développement et de justice sociale des populations les plus démunies et les plus exposées aux impacts de ce phénomène.



Les effets du Changements climatiques au Sénégal ( Pular) Par radio Endam Fm

Les effets du Changements climatiques au Sénégal ( Pular) Par radio Endam Fm by Flamme D'Afrique on Mixcloud

mercredi 25 novembre 2015

Climate change report in Nigeria

CLIMATE CHANGE REPORT in Nigeria by Flamme D'Afrique on Mixcloud

Débat: Les effets du changement climatique au Sénégal

Débat: Les effets du changement climatique au Sénégal by Flamme D'Afrique on Mixcloud

Magazine: Les effets du changements climatiques en Côte d'Ivoire, une production de Radio Zanzan

Magazine: Les effets du changements climatiques en Côte d'Ivoire, une production de Radio Zanzan by Flamme D'Afrique on Mixcloud

Magazine sur les effets du changement climatique au Sénégal

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EDITORIAL: S’informer pour mieux s'adapter….

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 Il y a un an, quand les rideaux étaient tombés la Cop 20 au Pérou, les yeux du monde se sont tout de suite rivés à cet horizon immédiat sur la ligne duquel la COP 21 Paris 2015.   Faute d’avoir réussi à matérialiser, en terre péruvienne leur marathon de négociations à travers un accord, les parties n’ont trouvé à s’entendre que sur qui sera consacré dans la littérature sous le vocable de « l’Appel de Lima ». Loin de baisser la garde et se résigner, ils ont essayé, de faire évoluer autrement les choses dans le domaine des négociations internationales sur le climat mondial.

mardi 24 novembre 2015

Bénin: COP21, Les populations, toujours les « non sachants » !

Alors que les autorités peuvent se frotter les mains en se vantant d’avoir soumis à temps un document au Secrétariat de la CCNUCC, certaines organisations de la société civile dénoncent un document élaboré selon un « procédé de vase-clos » qui n’a pas fait l’objet d’une campagne de popularisation et de vulgarisation au sein de la société. Les préparatifs de même que l’élaboration du rapport ont été l’œuvre exclusive de l’élite administrative qui s’est cantonnée, comme à son habitude, dans une démarche autoritaire classique de prise de décision en dehors de toute participation ou concertation populaire. 

La COP 21 vue du Bénin : un exemple de discordance entre l’Etat et la société civile

Conformément aux décisions issues des deux derniers sommets en date, notamment la COP 19 de Varsovie et la COP 20 de Lima, les Etats devront présenter au prochain sommet de Paris, ce qu’il convient d’appeler leurs « Contributions Prévues Déterminées au Niveau National (CPDN) », connu sous le vocable anglais Intended National Determined Contribution. Lors d’une sortie médiatique le 4 septembre 2015, le Gouvernement, par la voix du Ministre de l’Environnement chargé de la gestion des changements climatiques Théophile Worou, avait officiellement dressé le tableau des préparatifs du Bénin. L’autorité avait à cet effet indiqué que le Bénin avait déjà fait acheminer son rapport depuis le 7 août 2015 au Secrétariat Exécutif de la Conférence. 

Bénin: L’Etat préoccupé par des stratégies alternatives


En butte à la réticence constante des populations à renoncer à de telles pratiques, l’Etat béninois avait envisagé désormais une gestion durable des forêts en mettant en place le Programme de gestion des forêts et ressources naturelles (PGFRN). Soutenu par la Banque Mondiale, l’objectif de ce projet est de réduire la pression anthropique sur les massifs forestiers en faisant initier par des individus ou des groupes des communautés riveraines des massifs forestiers sous aménagement, des « Activités alternatives génératrices de revenus, AAGR » en vue d’améliorer leurs moyens de subsistance. 

Bio charbon: Manque de financements pour moderniser la production

La production artisanale du bio-charbon est de 100 Kg par jour. Elle pourrait atteindre une tonne si le processus se modernise. On estime pourtant la consommation totale de bois énergie (bois de feu et charbon de bois) à plus de 15,6 millions tonnes par an dans le pays. Il faut penser à étendre le projet à l’échelle nationale afin de couvrir les besoins. 

Côte d’Ivoire : Réduction des gaz à effet de serre, Du bio-charbon pour lutter contre le changement climatique

Pour faire face aux effets du changement climatique, la Côte d’Ivoire s’est lancée dans la production du bio-charbon. L’objectif est d’exploiter l’énorme potentiel de biomasse et juguler la déforestation qui menace le pays. Mais cet ambitieux projet, qui veut promouvoir la transition énergétique et une économie verte, se heurte à un sérieux obstacle : le financement

Côte d'Ivoire veut lutter contre le changement climatique


Ce projet parait banal. Mais il pourrait être révolutionnaire. A Affery, le constat est frappant. Les populations prélèvent le bois vert dans les forêts. Tronçonné et séché, il sert ensuite pour la cuisson. Devant la plupart des habitations, de grands stocks de bois de chauffe sont accumulés. Pour le Dr Jules Afferi, chercheur à l’Institut de recherches sur les énergies nouvelles (Iren) de l’Université de Nangui-Abrogoua, à Abidjan, la production du bio-charbon va réduire la disparition des forêts et préserver la biodiversité. Ce qui permet de lutter contre le changement climatique. 

Technologies durables et green business: Les nouveaux marchés du développement durable

L’énergie. La ressource de tous les processus de développement. L’Amérique dans tous ses Etats n’aurait réussi son développement sans cette ressource : sous son aspect liquide, nucléaire et atomique, solaire et éolien, l’énergie a boosté le développement du monde, mais n’est pas encore à sa place en Afrique malgré l’énorme potentiel.

lundi 23 novembre 2015

Des modèles d’urbanisme aux antipodes: Des villes plus intelligentes, est-ce possible en Afrique ?

Lagos, Nairobi, Dakar, le Caire… Un monde des villes en gestation. Aujourd’hui, 54% de la population mondiale vit dans les centres urbains en Afrique comme ailleurs. Ce constat invite ainsi à l’urgence de nouvelles grilles de lectures urbaines.  Egalement, à un nouveau questionnement sur l’utilité climatique dans les projets d’aménagement et de construction.
Au Sénégal, si Dakar se sent un peu mieux, la plupart des villes et régions sont dans une totale déshérence économique, faute de projets adaptés.

Changement climatique: L’heure des vrais choix Paris, avant, pendant et après…

Dans ce contexte, le Sénégal qui a organisé au mois de juillet son forum national sur le développement durable, histoire d’esquisser un vrai projet pour l’avenir, n’ira guère mieux au moment où se tiendra la  conférence de Paris de novembre-décembre. De tout le continent, viendront des délégations, mais le continent aura encore du mal à poser son problème en terme de climat. On y travaille pourtant depuis le début des années 1990, mais les moyens consacrés au secteur se sont faits de plus en plus rares.

ENCADRE: Une question-clé : les CPDN

 Les contributions prévues déterminées au niveau national (Cpdn) qui seront proposées par les pays constitueront un apport clé aux négociations devant mener à un accord sur le climat en 2015 à Paris. Ces contributions devront donc tenir compte des processus nationaux et internationaux ainsi que des exigences en matière d'intégralité, de transparence et d'ambition telles qu'elles ont été négociées sous la Convention cadre des Nations Unies pour les changement climatique (Ccnucc). 

Energies, économie verte, climat, développement durable… Les mots-clé d’un sommet mondial

1990-2015. Une échéance mythique pour sauver la planète de la paralysie énergétique et des effets pervers du climat. Après le sommet de la terre tenue à Rio de Janeiro en juin 1992 et la naissance des conventions (sur le climat, la désertification, la biodiversité etc.), on a parlé chaque fois plus d’environnement comme jamais auparavant. Mais à quoi à servi tout ce discours 25 ans après au moment où se prépare la vingt et unième  Conférence des parties sur le climat ? Que peuvent attendre le Sénégal et l’Afrique d’un tel sommet ? Dans ce nouveau rendez-vous du donner et du recevoir, pour la survie de l’humanité, chaque mot a un sens. Chaque décision se monneyera au prix du climat. Paris et ses rêves. Paris dans la folie climatique, Paris par ci. Paris par là. Paris partout. Retour sur les mot clés d’un sommet planétaire qui ne laissera personne indifférent et qui aura lieu du 30 novembre au 11 décembre 2015.

Local Farmers blame rising temperatures on Boko Haram bombs

War propaganda by the Boko Haram terror organization in Nigeria may be producing an usual result with increasing number of local populations convinced that extreme weather conditions experienced in some parts of the country were as a result of bombs set off in the battle between the Nigerian military and the Islamist sect.

Climate Change fuels religious conflicts in Nigeria

The effect of climate change in Nigeria is taking a turn for the worse with renewed hostilities between Moslems herdsmen from the North and Christians farmers in the South over access to grazing fields.The Christian Association of Nigeria (CAN) this week called on the National Assembly to reject any bill intended to pave the way for the creation of grazing fields in the south of the country for herdsmen from the north. The Christian body in a statement described such legislative agenda as divisive and inflammable and one capable of igniting another religious crisis between the North and the South.